Priorisons

Comme le dis le bouddha, si vous avez une flèche qui vous arrive en plein entre les deux yeux, le premier réflexe est de l'esquiver avant de réfléchir au pourquoi du comment de qui l'a tiré.

Dans notre cas, ça fait déjà un bon moment que l'on a pris la flèche dans le crâne et que l'on souffre atrocement, et pourtant certains continuent de réfléchir à qui à tirer la flèche...

Tous cela pour dire : Priorisons les sujets... Ne nous laissons pas embarquer dans des réflexions sans fin qui n'ont que peu d'impact sur notre guérison.

Gassho.

Elles sont sans fin peut être parce que nous ne savons pas conclure

ou bien est-ce parce que leur nature impermanente ne le permet pas ?

Que signit "Elles" ? dans le propos précédent ?

Gassho

Salut,

"Elles" signifient les réflexions.

Bonne journée

Les réflexions ont un début et une fin...

Pourquoi dire quels sont sans fin ? On y met bien un terme dès que nous le souhaitons par la pratique de la méditation... On atteint alors hishiryo.

Ce que je veux dire, c'est que l'important avant tout est de réfléchir à comment se soigner efficacement au lieu de réfléchir à qui nous a mis malade !

Je suis d'avis que beaucoup de débats dans le bouddhisme son inutile et mène nul part .... Asseyez-vous en zazen, ça ira mieux

Gassho.

Chaque réflexion particulière a un début et une fin ... mais génère une autre réflexion et un autre et une autre ....

Mais zazen est parfait, c'est tout à fait vrai.

Peut être pourrait-on allier réflexion et zazen Non ?

Zazen va audelà de la réflexion et de son absence. On peut parfaitement être zen et être en train de réfléchir

Par contre on ne peut être en état hishyrio et réfléchir c'est impossible.

Donc il est parfaitement possible de réfléchir en zazen, même s'il est plus difficile de rester présent.

Gassho.